Il y a 10 ans, lors du conseil municipal du 27 mars 2002, un forcené abattait 8 élus nanterriens sans distinction de fonction ou de groupe politique.
Premier à mourir sous ses balles, Pascal Sternberg, conseiller municipal, conseiller régional et membre des Verts. Suivirent Michel Raoult, conseiller municipal, Louisa Benakli, Christian Bouthier, Jacotte Duplenne, Monique Leroy-Sauter, Olivier Mazzotti, Valérie Méot.
De nombreux élus furent également blessés.
Ce drame inexplicable résonne chaque année à Nanterre. Ce brutal fait divers a profondément marqué l’ensemble des familles politiques de notre ville, et tout particulièrement les écologistes qui ont vu le départ de Christian et Annie Demercastel, fondateurs des Verts sur Nanterre, partis vers d’autres horizons plus sereins.
A l’occasion des 10 ans, 8 allées portant le nom de chacun des 8 élus assassinés seront inaugurées sur les Terrasses, mardi 27 mars 2012 à partir de 18h30. Nous invitons l’ensemble des nanterriens, des écologistes à venir se recueillir en mémoire de nos collègues.
Mardi 27 mars, 18h30
Terrasses de Nanterre
RER A Nanterre Préfecture
Une réflexion au sujet de “10 ans après, nous n’oublions pas”
Les commentaires sont fermés.
Les Tours Aillaud ne sont pas si terrible que ca, certainement moins terrible que certaines barres. Techniquement les appartements sont nettement mieux que beaucoup d’appartements parisiens : beaucoup de lumie8re, peu de vis e0 vis, grandes pie8ces, La mienne est tre8s bien entretenue, encore une fois certainement mieux que beaucoup de copropriétés parisiennes. Niveau transport, il y a nettement pire en banlieue : moins de 10mn pour rejoindre la De9fense ou Nanterre-Prefecture. Niveau espace vert : fantastique parc Andrée Malraux au pied, et beaucoup de verdure au pied des tours.Socialement, évidemment, c’est Nanterre, un quartier du parc avec pratiquement 100% de logements sociaux, dont la plupart, Aillaud en particulier, très sociaux. Et l’on voit bien le laxisme qui y règne : nombreuses épaves dans les parkings, stationnement sauvage, rues globalement dégueulasses (poubelles à l’extérieur avec les rats qui se servent), Conclusion, des façades un peu moins moches, beaucoup plus de mixité sociale, et on aurait certainement quelque chose de vraiment pas mal. C’est un des rares (le seul ?) quartiers de tours en France qui ne soit pas sur dalle !